Bars à animaux : Le hibou, nouvel animal tendance ?
Le 14/11/2013
Après le succès des bars à chats, où l’on pouvait caresser des matous ronronnant, les Japonais ont lancé les cafés à hiboux. Le succès est encore une fois au rendez-vous.
Le hibou serait-il le nouvel animal tendance ? Au Japon, cela semble bien être le cas. En effet, après avoir lancé la tendance du bar à chat, les Japonais viennent de créer le café à hiboux. Basé sur le même principe que les fameux bars à félins, les cafés à hiboux permettent aux clients de déguster un verre entourés d’oiseaux de nuit.
D’après Gentside qui a révélé l’information, quelques précautions doivent toutefois être respectées. En effet, les hiboux ne sont pas des animaux domestiques, n’en déplaise à Harry Potter. Par ailleurs, ils peuvent rapidement prendre peur et se mettre à voler dans tout le café, pouvant provoquer une panique générale.
Il convient donc de ne pas attraper les hiboux et de ne pas les caresser sans avoir eu d’autorisation préalable. Par ailleurs, afin de ne pas les effrayer, les cafés à hiboux accueillent peu de clients à la fois. Dans la mesure où les lieux sont d’ores et déjà victimes de leur succès, mieux vaut prendre son mal en patience en faisant la queue à l’extérieur.
Face au côté insolite du concept, nul doute que la très grande majorité si ce n’est la totalité des clients désire prendre des photos pour garder un souvenir ou épater ses amis. Néanmoins, afin de ne pas effrayer les hiboux, les flashs sont, à juste titre, totalement prohibés.
Selon Gentside, les hiboux utilisés dans ces cafés auraient droit à environ 20 minutes de vol par jour afin qu’ils se dégourdissent les ailes mais aussi pour respecter leur nature d’animal sauvage. De fait, lorsque les hiboux ont droit à leur « pause syndicale », les cafés ferment et les clients patientent dehors.
A l’instar des bars à chats, les cafés à hiboux connaissent selon Gentside un fort succès au Japon. Alors que l’unique bar à chats parisien est désormais impossible d’accès sans réservation, on se demande si ce nouveau concept va s’exporter jusqu’à nous.
Visiblement les animaux constituent un aimant à clients. Néanmoins, leur utilisation en tant « qu’appât » risque fort de faire rugir les associations de défense des animaux.
Source : Marie Claire
